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Même si c’est important, un changement de gouvernement ne suffit pas seul pour voir la situation des ingénieurs, cadres et techniciens de la métallurgie s’améliorer d’un seul coup. En matière de rémunération, de conditions de travail, de carrières, de retraite et de choix industriels, c’est grâce à notre mobilisation que nos demandes verront le jour, car le MEDEF continuera pour sa part à défendre pied à pied les intérêts de ceux qu’il représente.
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La CGT souhaite vous interpeller sur le devenir de l’emploi industriel au sein du territoire national.
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N’en parlons plus, il est enfin parti avec son gouvernement. Regardons maintenant devant. De nouveaux espoirs, de nouvelles perspectives se créent. Mais face à un patronat toujours porteur de sacrifices, en matière d’emploi ou de salaire, pour le plus grand nombre afin de satisfaire les intérêts des plus nantis, il est indispensable d’enclencher une réelle dynamique d’action dans nos entreprises.
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Le 6 mai 2012 nos concitoyens se sont largement mobilisés pour sanctionner le président Sarkozy, son gouvernement et l’ensemble de leur oeuvre menée pendant tout ce quinquennat. Il s’agit d’un désaveu cinglant sur des réformes antisociales et autoritaires imposées sans concertation, guidées par un patronat qui en réclame toujours plus.
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Les exigences des ICT à sortir du Sarkozysme étaient liées à la forme et à la manière de diriger le pays et à une opposition grandissante à l’austérité au nom de la dette et de la réduction des coûts salariaux. La nomination du nouveau gouvernement peut laisser à penser que la forme va changer, ainsi que l’orientation. Cela acquis, les législatives vont être l’occasion pour les ICT de conforter leurs exigences sur le fond et de gagner au sein du futur parlement des points d’appui pour leurs revendications. Mais de toute évidence, la nécessité d’une mobilisation forte dans les entreprises est désormais posée.
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En 5 ans, 300 000 emplois industriels ont été rayés de la carte, 800 000 depuis 10 ans. S’ils représentaient 30% du PIB en 1960, ils ne représentent plus que 11% aujourd’hui. Face à ce constat, le précédent gouvernement a organisé en urgence les Etats généraux de l’industrie. L’accent a été mis sur l’augmentation de la compétitivité des entreprises, qui se traduit par une volonté de réduire le coût du travail.
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